- 1 661 observations
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22
communes -
122
observateurs
7
organismes -
Première observation
1943 -
Dernière observation
2024
Ancizan - Aragnouet - Arrens-Marsous - Aulon - Bagnères-de-Bigorre - Bagnères-de-Luchon - Barèges - Beaucens - Campan - Cauterets - Estaing - Gavarnie-Gèdre - Gazost - Génos - Loudenvielle - Luz-Saint-Sauveur - Oô - Saint-Lary-Soulan - Sazos - Sers - Tramezaïgues - Vielle-Aure
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Nature En Occitanie (NEO)
Participation à 1340 Observations
Part d'aide à la prospection : 80.67 %
Fiche organisme
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NEO Données Privées
Participation à 312 Observations
Part d'aide à la prospection : 18.78 %
Fiche organisme
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SANS ORGANISME
Participation à 10 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.60 %
Fiche organisme
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Association LUS
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.12 %
Fiche organisme
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Observado (observation.org)
Participation à 2 Observations
Part d'aide à la prospection : 0.12 %
Fiche organisme
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Informations espèce
Peu remarquable et assez variable, semblable dans ses grands traits à celle de nombreux petits Lacertidae européens, la robe d’I. bonnali combine un dos gris-brun à brun noisette et des flancs portant un bandeau sombre, à tendance brun-noirâtre, souligné par une bande plus pâle (gris-brunâtre). Ce bandeau sombre des flancs est à tendance unie, ou faiblement maculé de brun pâle. Il existe fréquemment un semis dorsal plus ou moins dense de petites taches ou de mouchetures foncées entre les bandes dorso-latérales, mais qui ne forment jamais de véritable ligne vertébrale comme chez le Lézard des murailles (qu'elle soit continue ou "en pointillés"). La queue est remarquablement uniforme, parfois bicolore à la base (poursuite latérale de la teinte foncée des flancs) mais toujours dépourvue de l'ornementation séquencée qu'on observe chez le L. des murailles (voir la page consacrée à cette espèce). La face ventrale est toujours blanche (jamais jaune ou orangée), avec parfois une zone noire sur la partie antérieure de certaines écailles. Quelques mâles présentent parfois des taches bleu pâle ténues sur les ventrales externes. Le mâle reproducteur est plus massif que la femelle, sa robe est généralement plus contrastée et on note un net renflement dans la partie basale de la queue, dû à la présence des hémipénis.
Plusieurs cas de mélanisme sont connus, chez les deux sexes.
L'écaillure revêt par endroits -surtout chez les mâles- un aspect métallisé plus ou moins notable, essentiellement sur les bras (nuances de cuivre, ou de bronze) ainsi qu'à l'endroit le plus large des bandes dorso-latérales, au-dessus des épaules (nuances d'or blanc, ou de platine). Ces nuances métallisées (inexistantes chez le L. des murailles) étant plus ou moins appréciables selon l'incidence de la lumière, elles ne sautent pas nécessairement aux yeux en toutes circonstances.
Les aires de répartition des différentes espèces d'Iberolacerta étant tout à fait distinctes et distantes, il n'existe aucun risque de confusion entre elles (encore faut-il connaître leur biogéographie...). Par contre, les confusions sont fréquentes avec le Lézard des murailles et, dans une moindre mesure, avec le Lézard vivipare, deux espèces très communes jusqu'à haute altitude dans les Pyrénées. Nous conseillons donc aux observateurs de joindre une photo lors de la saisie, via l'outil "Média" de Géonature Occitanie.